Le 31 janvier 2020 le Royaume-Uni est sorti de l’Union Européenne (UE). Durant un mois, le Royaume-Uni a été dans une période transitoire dans laquelle il a préparé son indépendance sur plusieurs plans dont parmi cela, ses relations avec le continent africain.

A ce propos, le Royaume-Uni est désormais libre de déterminer ses relations avec l’Afrique. De ce fait, de nouveaux accords sont à prévoir entre les deux parties, notamment dans le secteur des nouvelles technologies liées à l’environnement. Vu que la deuxième édition du Sommet Royaume-Uni – Afrique sur l’investissement n’a pas eu lieu, le cabinet britannique tente de mesurer l’influence post-Brexit en Afrique lors de la COP 26, qui se déroulera le 1^er au 12 novembre 2021 à Glasgow.

Cependant, en Afrique, le gouvernement britannique a une mauvaise image dans le secteur de l’environnement. Un média sponsorisé par l’ONG internationale de l’environnement, Greenpeace,  accuse ce pays de financer l’utilisation des énergies fossiles dans des pays africains comme avec les deux sociétés pétrolières américaines, opérant en Afrique de l’Ouest et une société pétrolière canadienne en Afrique du Sud.

Ainsi, dans ce sens, lors de la COP26, le Royaume-Uni souhaite se rattraper pour avoir une bonne relation entrepreneuriale avec l’Afrique . Il annonce son engagement auprès de ses partenaires africains, pour le développement des énergies renouvelables, en élaborant une expertise faite par ses entreprises reconnues dans cette filière. Outre cela, il souhaite rendre le secteur des nouvelles technologies liées à l’environnement, un des atouts des entreprises britanniques en Afrique.

Ravaka Ny Aina RANDRIAMAMONJY

©Source Photo: Afrik21

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